Caves ouvertes des vins du Valais
Les vigneronnes et vignerons valaisans ouvrent leurs portes du jeudi 9 au samedi 11 mai 2024, de 11.00 à 18.00. Près de 230 caves à visiter et plus de 55 cépages à déguster. Pour les amateurs des vins de la cave de l’Etat du Valais, le rendez-vous est fixé au Domaine du Grand Brûlé à Leytron, où les vins du Domaine de Châteauneuf seront également présentés.
Un projet d’envergure pour un vignoble moderne
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La structure foncière actuelle du vignoble valaisan représente un frein à sa rentabilité et à son développement, tant sur le plan économique qu’environnemental ou paysager. L’analyse réalisée par le Service de l’agriculture, en collaboration avec la branche, confirme ce constat. Le projet « Vignoble du 21e siècle » prévoit des mesures de modernisation et de rationalisation des structures, pour un volume global d’investissement de 170 millions de francs sur quinze ans. Le Conseil d’Etat soutient la démarche et a décidé de demander au Grand Conseil l’octroi d’un crédit-cadre de 141 millions de francs.
Point de situation sur le gel de printemps d’avril 2024
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Un épisode de gel de printemps modéré a été enregistré en Valais dès la nuit du 18 au 19 avril. Les seuils critiques de sensibilité au gel des cultures spéciales ont été atteints localement. Pour le secteur des fruits et légumes, aucun dégât significatif n’est signalé. En viticulture, des dégâts ont été constatés localement dans les zones historiquement connues pour être sensibles au gel. Le coteau a largement été préservé. A l’échelle du canton, cet épisode de gel devrait avoir un impact marginal sur le volume de la vendange 2024.
Projet "La preuve par le slip"
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Les sols sont essentiels à la vie : ils assurent la production alimentaire, filtrent l’eau et abritent une grande diversité biologique. Afin de les protéger de façon ciblée, nous devons collecter davantage d’informations sur leur qualité et les services qu’ils fournissent. L’action « La preuve par le slip » attire, par un clin d’œil, l’attention du public sur la question sérieuse et importante qu’est la santé des sols. Les personnes intéressées peuvent découvrir l’état de santé et le degré de vitalité du sol de leur terrain. Pour ce faire, il suffit d’enterrer des slips et d’attendre que le sol fasse son travail.
Fête de la nature
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Dans le cadre de la fête de la nature, le secteur biodiversité et espace rural du Service de l’agriculture sera présent à Finhaut le dimanche 26 mai 2024 de 10.00 à 16.00. L’occasion de rencontrer des spécialistes et de comprendre comment l’exploitation agricole extensive contribue à la conservation du paysage traditionnel et à la biodiversité des lieux.
Organigramme Protection des troupeaux 2024
Civilistes
Dès maintenant, les exploitations de base et d'estivage peuvent demander au secteur protection des troupeaux du Service de l’agriculture d'engager des civilistes pour une durée maximale de 2 semaines afin de mettre en œuvre des mesures de protection des troupeaux.
Contribution supplémentaire pour la protection des troupeaux
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A partir de 2024, les exploitations d'estivage pourront demander à l'Office fédéral de l'agriculture (OFAG), en plus des contributions d'estivage, une contribution supplémentaire pour la protection des troupeaux d'un montant de 250 francs/PN pour la mise en œuvre de mesures individuelles de protection des troupeaux. L'objectif de cette contribution supplémentaire est d'indemniser les dépenses dans le domaine de la protection des troupeaux, qui ne sont pas couvertes par l'Office fédéral de l'environnement OFEV. Cette contribution supplémentaire est versée lorsqu'un concept individuel de protection des troupeaux (CIP) est disponible. Les demandes sont à faire auprès du conseiller en protection des troupeaux de votre région.
Cabanes mobiles
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Les logements ne seront plus financés à 100 % à partir de 2024 dans le canton du Valais. Dès à présent, les exploitations d'estivage peuvent déposer une demande auprès de l’Office des améliorations structurelles par l'intermédiaire de leur conseiller en protection des troupeaux. En cas de décision positive, les instances publiques financent 63% des coûts (36% Canton, 18% Confédération, 9% commune). Les 37% restants sont à la charge des exploitations d'estivage ou des exploitants. Les exploitations d'estivage avec des moutons, des chèvres et des veaux de moins d'un an, qui ont engagé un berger, y ont droit.
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